vendredi 1 janvier 2016

2010

Mardi 26 janvier
Avec l’appel de ce soir de la dame Dupond, en quête de prétendues vieilles dettes, le harcèlement téléphonique est caractérisé, et ce malgré mon courrier recommandé du 15 de ce mois.
Pour mémoire : premier appel un vendredi matin, avant 9 heures, avant l’envoi de leur premier courrier. Suivront des appels avec ou sans message laissé puisque je ne réponds à aucun. Trois messages auxquels s’ajoutent trois ou quatre appels.
Entre les manquements au décret de 1996 dans leurs courriers dits « amiables » et ces pratiques téléphoniques condamnées par la jurisprudence, Créanrec fait peu de cas du droit des accusés débiteurs, voulant récupérer le maximum avec un minimum de frais. Ils n’auront rien, strictement rien de ma part. Et si l’acharnement se poursuit avec des méthodes envahissantes, voire menaçantes, ce sera l’immédiat dépôt de plainte contre eux. Gare à leurs faux pas, donc…
 Ce prétendu prêt, s’il a existé, ne l’a été que pour la SERU, liquidée en 1994, et certainement pas pour mes besoins personnels. Je n’ai donc aucune obligation de me substituer à une défunte personne morale. Que certains des Gens du Nord, Heïm en tête, aient abusé de mon identité et de ma signature, ne m’étonneraient même pas. Dégoût total et nausée face à ces remontées d’infect passé. A dégueuler.
Je devrais encore aujourd’hui, dix-sept ans plus tard, protéger des gens dont je n’ai plus rien à foutre et qui, peut-être, sont à l’origine de ce vieux dossier réactivé ? Je chie sur ce monde parasitaire.

Dimanche 16 Mai
Fin de l’intérêt réciproque entre Heïm et moi. Depuis ma « Tribune libre pour Micberth en liberté », toujours très bien positionnée lorsqu’on tape son patronyme dans Google, et ses quelques appels pour tenter de comprendre ma véhémence, silence radio de son côté puisque je ne prenais plus l’initiative du contact depuis de nombreuses années. Encore moins l’envie de me manifester, même plus le besoin de le stigmatiser… comme une naturelle indifférence. Je me force presque pour consigner ce bref état des lieux. Cet article a bien sonné la fin du lien, comme un fronton explicite des pages, pour l’instant clandestines, de Heïm le maudit.

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