Mardi
26 janvier
Avec l’appel de ce soir de la dame Dupond, en quête de prétendues vieilles
dettes, le harcèlement téléphonique est caractérisé, et ce malgré mon courrier
recommandé du 15 de ce mois.
Pour mémoire : premier appel un vendredi matin, avant 9 heures,
avant l’envoi de leur premier courrier. Suivront des appels avec ou sans
message laissé puisque je ne réponds à aucun. Trois messages auxquels
s’ajoutent trois ou quatre appels.
Entre les manquements au décret de 1996 dans leurs courriers dits
« amiables » et ces pratiques téléphoniques condamnées par la
jurisprudence, Créanrec fait peu de cas du droit des accusés débiteurs, voulant
récupérer le maximum avec un minimum de frais. Ils n’auront rien, strictement
rien de ma part. Et si l’acharnement se poursuit avec des méthodes
envahissantes, voire menaçantes, ce sera l’immédiat dépôt de plainte contre
eux. Gare à leurs faux pas, donc…
Ce prétendu prêt, s’il a existé,
ne l’a été que pour la SERU, liquidée en 1994, et certainement
pas pour mes besoins personnels. Je n’ai donc aucune obligation de me
substituer à une défunte personne morale. Que certains des Gens du Nord, Heïm en tête, aient abusé de mon identité et de ma
signature, ne m’étonneraient même pas. Dégoût total et nausée face à ces
remontées d’infect passé. A dégueuler.
Je devrais encore aujourd’hui, dix-sept ans plus tard, protéger des gens
dont je n’ai plus rien à foutre et qui, peut-être, sont à l’origine de ce vieux
dossier réactivé ? Je chie sur ce monde parasitaire.
Dimanche
16 Mai
Fin de l’intérêt réciproque entre Heïm et moi. Depuis ma « Tribune libre pour Micberth en
liberté », toujours très bien positionnée lorsqu’on tape son patronyme
dans Google, et ses quelques appels pour tenter de comprendre ma véhémence,
silence radio de son côté puisque je ne prenais plus l’initiative du contact
depuis de nombreuses années. Encore moins l’envie de me manifester, même plus
le besoin de le stigmatiser… comme une naturelle indifférence. Je me force
presque pour consigner ce bref état des lieux. Cet article a bien sonné la fin
du lien, comme un fronton explicite des pages, pour l’instant clandestines, de Heïm le maudit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire